[Historique] La Famille Auge

(aller je me lance, depuis le temps que je suqtte ce fofo. Voici des p'tit bout ecrits de la vie de mes persos, et donc ca commence par la mère :Felixette, pour continuer sur la vie de la fille: Zara)

Chapitre Un - Naissance

Une ecatte est agenouillée devant un seau. La jeune femme s'essuie la bouche et se relève péniblement. Déjà une semaine qu'elle est malade. Ca devient dur de le caché a son mari.
En l'entendant bouger dans son sommeil, elle s'empresse de mâcher les feuilles de menthe qu'elle achete regulierement à Astrub.
-"Mamour, venez vous recoucher" marmonne le Duc.
Felixette avale un verre de lailait et se recouche, frissonant en sentant la douce chaleur que degage son beau Iop de mari.

Tous les matins elle commence la journée en reexpediant son dîner de la vieille a mere Nature. Au moins, ca evite les regimes, bien qu'evidemment jamais cela ne serait necessaire.
Cela avait commencé apres ses escapades dans les egouts de Bonta, à la demande de Sacavinasse, elle n'y avait rien trouvé, mais peut être que quelque chose qui trainait l'avait trouvé elle. Peut être même, la maladie qui avait infectée les habitants locaux des egouts .
Toutefois, avant de crier l'alerte quant à une contamination elle devait s'assurer d'une chose... et donc trouver un alchimiste assez discret pour ne pas venir parler au Duc.
Elle fini par fermer les yeux, un peu inquiete, se berçant en ecoutant le soufle regulier et rassurant de son Amour.

Le soir venu, Felixette prend son courage à deux mains et demande discretement à un ami Alchmiste s'il saurait faire une potion particuliere.
- heuu, non je sais pas faire ça moi
- Mais t as pas un livre d'alchi qui te le dirai?
- Bon, attends je vais voir si je trouve ça quelque part.
Angoissée, elle tourne en rond a Talinéa, massacrant les bouftous qui trainent sur son passage.
Un peu plus tard, avec sa bel voix masculine il lui donne une liste d'ingredients.
Elle s'applique a tout noter, et part vite regrouper tous les ingredients.

Quelques bestioles tuees plus tard, au labo d'alchi, Felixette tient dans sa main une potion encore tiède, la retournant dans tous les sens.
- Je la bois ? ca marche comment?
- Bois la, repond le Iop alchimiste en souriant
- Maintenant ?
Felixette hesite. Elle a peur du resultat, elle a peur que ca soir positif. Non il ne le faut pas, c'est pas le moment.
- C est toi qui vois, mais la potion sera périmée dans 24heures
- bon, mais promis tu dis rien de rien au Duc ?
- Ouiiii promis, et puis j'ai pas envie de me faire eclater, dit il avec un air crispé

Felixette debouche la fiole, prend une longue impiration et boit tout d'un coup.
- et maintenant ?
- dans les 10 secondes tu sauras .... si tu as tres envie de faire pipi
Felixette ouvre de grand yeux etonnés.
- Oui oui et si c est un gros pipi, c est que c'est une fille... une pisseuse quoi... rajout il en riant
Elle se dit que plus jamais elle fera appel a un Iop pour preparer des potions, et part s'eclipser une long moment...
Et revient les larmes aux yeux, en profitant pour se faire consoler par le beau Iop.
- Dis, tu pourrais voir pour une autre potion ?
- heuu oui bien sûr, dis moi.

Elle lui murmure doucement a l oreille ce qu'elle veut pour être sûre qu'aucune oreille indiscrete n'entende et s'en va rejoindre des amis pour se vider un peu la tête.

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Felixette bouge doucement ses pied nus dans l'herbe. Il fait nuit et un peu frais, mais cela ne l'empêche pas de faire sa scéance de detente naturiste dans les champs de cania.
Elle s'allonge dans l'herbe observant la lune blanche et pensant à la vie qui pousse en elle. Deja une semaine que le père est au courant. Elle ne voulait pas lui dire car elle ne voulait pas garder l'enfant. Mais une amie lui a dit pour elle, liberant ainsi en partie sa conscience.

Elle arrache un brin d'herbe qu elle se met a mordiller nerveusement. Le Duc avait tres mal pris la nouvelle, apres tout il est le père, Felixette aurait dû lui en parler de suite. Il n'a pas compris que pour elle, être enceinte etait un handicap, qu elle ne pourrait pas menner à bien ses missions, et apres la naissance... douleur, cris, pleures et nuits blanches...Brakmar passerait toujours avant de toute façon.
Il l'avait giflé espérant faire reprendre ses esprit a Felixette. Il ne comprend pas le degout que sa femme a pour le 'parasite' qui avait elu domicile en elle.

Felixette sourit en pensant que déjà il n'avait pas douté de la paternité. Il va s'en occupé il a dit et bien tant mieux, elle ne l aurait pas fait quoiqu il arrive... mais pourtant depuis qu'il le sait il l'évite, il ne vient plus lui offrir une fleur le soir quand il arrive.

Il faut lui trouver un nom. Felixette regarde un etoile filante passer, et eclate de rire en trouvant le prénom de sa fille: Zara. En honneur à une actrice qu'elle admirait quand elle etait jeune. Elle l'avait vu un soir dans une piece nommée Zara La Blanche et les 7 mercemaires.
Un peu relaxée, Felixette se met a courrir toute nue en criant à la lune de lui faire revenir vite son epoux, ne manquant de trébucher sur un trool endormi...

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Les dindes courent dans tous les sens dans l'enclos, Felixette essaye en gesticulant de leur faire effleurer les foudroyeurs. Son ventre s'est arrondi, ses nouvelles rondeurs la genent un peu dans ses mouvements. Tout n'est pas négatif dans une grossesse, même si c'est la troisieme, apres tout, ses seins eux aussi se sont arrondis et n'en sont que plus beaux.
Encore un peu de temps à tenir et l'intruse qui grandi en elle pourra rejoindre le monde des vivants.

Les dindes s'agitent un peu trop, un mâle essaie de coincer une femelle dans un coin... la dinde du Duc. Felixette sourit en pensant qu'il est bien comme son maitre lui, toujours calin quand on s'y attend le moins. Elle enjambe la barriere de l'enclos et se dirige vers le mâle en levant les bras et en criant.

- Aller ! s'pece d'osdédé, dégages de là !!!

Erreur que de foncer comme ça, les dindes s'affolent et bousculent un peu brutamelent Felixette. L'ecatte tombe par terre, à moitié assomée, milles Iops tournant à une vitesse affollante autour de sa tête. Se laissant aller à essayer de les attraper, elle sort de sa torpeur en sentant un liquide chaud lui couler entre les jambes.
Elle se traine en dehors de l'enclos en restant calme. Aucune douleur, ni contraction, mais elle ne se sent pas à l aise et se decide à appeler son mari.

- C'est trop tôt Namour lui dit-elle quand il arrive à l'enclos.
- Allongez vous, il faut qu'elle sorte.
Il prend un air rassurant et aide sa femme à s'allonger sur la paille.
- Aller poussez !
Felixette pousse, devient violette sous l'effort, souffle comme elle avait déjà fait auparavant. Le Duc par reflexe souffle de concert avec elle. Elle pousse, encore et encore, mais rien n'y fait, quand c'est pas l'heure...

Le Duc lui eponge le front, et a soudainement une lueur d'intelligence dans ses yeux.
- Namour, je sais comment faire ! Bougez pas.
Il prepare des linges propre et un seau d'eau, retrousse ses manches et assenne un grand coup de poing dans le ventre de Felixette. Sous la surprise et la douleur elle a le souffle coupé, mais sent comme une libération.

Le bébé est ejecté avec violence et assome le Duc en atterissant dans ses bras.
Felixette regarde la petite chose toute frippée avec degout. Le Duc, encore un peu etourdit la baigne dans l'eau pour la nettoyer, ce qui ne manque pas de la faire pleurer.
Zara, ainsi nommée par Felixette, pousse de petits cris affolés, qui cessent rapidement apres le premier ordre de son pere:
- On ne pleure pas !
Et il lui donne un Ducal coup de poing.

Ainsi commence l'existence de Zara D'Auge, fille légitime (si si) du Duc d'Auge et de Felixette D'Auge.

Chapitre Deux - Sexe et vengeance

Il est tard, la nuit est tombée depuis un moment. Dans une petite chambre de l'hotêl d'Amakna, Felixette n'en peut plus de pleurer et souffre abominablement de ses mutilations.
Elle enleve le linge ensanglanté qui recouvre la plaie encore vive, là ou aurait dû être son pied droit. Elle a encore l'impression de pourvoir bouger ses orteils.

La chambre est en desordre: un chaise en bois est fendue en deux, brisée par la colere de l'ecatte; des bouts de cotons imbibées de sang jonchent le sol, a côté de ses affaires pleines de son sang.
Felixette se demande ce qu'elle va devenir si le Duc la quitte definitivement. Même s'il a été odieux et qu'il les a traités pire que de bêtes, il reste quand même son seul Amour, et elle l'aime encore et elle l'aimera toujours.

Peut être qu'il finira ce qu'il a commencé, qu'il la tuera. Felixette tient à sa vie, elle avait enfin reussit à se faire une petite place dans sa nouvelle existence de Brakmarienne, se sentant un peu utile même si elle ne faisait pas de grandes actions.
Mais, de toute façon sans lui rien n'aurai plus de sens.
Kuro avait dit qu'il lui parlerai peut-être, mais apres ce qu'elle avait fait ce soir à Astrub dans la maison Sériane, remplie de colere et profondemment meutrie dans son coeur... il ne lui pardonnerai jamais, quoi que Kuro, ou elle même pourrait dire après.

Elle fait une grimace en gémissant de douleur en appliquant un baume cicatrisant sur sa blessure, tout en essayant de ne pas rapeller la douleur endormie dans sa main elle aussi mutilée.
Tout ça a cause de sa fierté et d'une parole oubliée.

Une semaine avant...
A force de se sentir mise de coté et ignorée, Felixette s'était rapprocher de Kev. Un petit spécimen Iop plutot pas mal et tres gentil.
Tous deux ayant un conjoint peu présent, c'est tout naturellement qu'ils se tenaient compagnie simplement, sans fautes conjugale. Malgres tout cela ne suffisait pas a Felixette. Le Duc ne l'honnorant pas comme une mari se doit de le faire, elle avait de plus en plus de mal à resister aux charmes du jeune Iop, laissant de plus en plus souvant ses mains se ballader sur Kev.
Felixette avait alors demander au Duc la permission de prendre Kev pour amant. Elle n'avait aucuns illusion quant à la reponse. Mais très etonné il avait dit oui. Peut être se rendait il compte finallement de l'ennuie de sa femme et du vide qu'il laissait lorsqu'il l'ignorait chaque soir. Et apres tout Kev est BM, Brakmarien, ce n'est pas un inconnu.
Alors sans aucun regrets, ni remords, la conscience tranquille, elle s'abandonne enfin dans les bras de Kev.

Ce soir là, comme à son habitude, le Duc part à ses occupations sans un regard, ni un mot pour Felixette. Elle s'était résolue à ne plus lui sussurer de mots doux depuis longtemps, ni même à le rejoindre pour éxiger son baiser du soir.
Elle avait rejoint Kev et l'avait entrainer dans une des maison abandonnées de Brakmar. Le Duc etait apparu alors qu'ils etaient encore nus et halletants, le rose au joues commencant à peine à disparaitre.

La suite est assez horrible pour etre passee sous silence, toutefois, jamais le Duc n'avait ete aussi cruel avec elle. Apres la "punition" du bourreau, Felixette repartait de la milice meurtrie, laissant derriere elle des traces sanglantées, un pied et un doigt.

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Quelques jours plus tard à Amakna ....
Le bouftou pousse un cri d'agonie avant de s'ecrouler. La jeune ecatte, essuie son baton, et se penche sur le cadavre du bouftou avec un sourire espiegle et un regard malicieux.
Sa petite taille et son air mutin indiquent qu'elle est encore tres jeune. Elle a hérite de la beauté de sa mère et un peu de la dureté de son pere.

- Zara forte dit elle en sortant un couteau.

Elle commence a depecer le bouftou pour en recuperer le cuir et la laine. L'odeur du sang chaud la fait saliver.

- Pôpa a dit pas manger tout. Alors bouftou pas bon.

Son bwak decharné essaie de picorer un bout de la bête. Elle fronce les sourcils et secoue son index de gauche a droite.

- Non, et non. Pas manger le bouftou !

Elle lui balance un grand coup de pied avec une immense satisfaction et rigole quand il s'enfuie en poussant de petits couinant appeurés.

- Bonsoir !! resonne un voix masculine inconnue dans sa tete
- Heuu bonsoir monsieur l'inconnu.
- Oups pardon j'ai du me tromper répond la voix au bout d'un moment.
- Pas grave monsieur.

Elle fini de découper le cadavre en chantonnant et saute sur le boufton qui passe a coté d'elle toutes griffes dehors.
Un fois le boufton abattu, Zara se prepare a le decouper avec sa bonne humeur habituelle.
Elle s'arrete de chantonner, elle se sent observee et cela la met mal à l'aise.Elle scrute du regards les alentours mais ne voit rien. Elle hausse les epaules, mais pourtant un frisson lui parcours le dos. Inquiete, elle continue sa tâche.
- Zara a pas peur, Zara forte se dit elle
Elle redresse la tête vivement. Un bruit dans les buissons. Surement encore une de ces bestioles qu'il ne faut pas manger. A tout hasard elle se dirige d'un pas ferme vers l'origine du bruit.

Deux hommes en surgissent pour l'aggriper. Ils sont 2 fois plus grands qu'elle, 2 fois plus forts aussi. Ils ont de droles d'ailes en cartons.
Elle pousse un cri etonnée.

- Bonsoir disent ils simultanement.

Elle reconnait la voix du monsieur inconnu. C'est un eca, armee d'un epee recoubée. Il est accompagné d'un feca etincellant.

- Pourquoi m'attaquer monsieur inconnu ?

Ils la plaquent au sol et la maintiennent fermement.

- C'est un contrat Zara, j'ai un message pour toi: "Oeil pour Oeil" dit il en sortant son epee.

Zara panique et crie de toute ses forces, envoyant un appel au secrous a son père.
- Pôpaaa on m'attaque !!!

Le feca lui assenne un coup de poing qui l'assomme à moitié. Une douleur horrible monte de sa main gauche. Elle hurle de douleur essayant de se debattre. Jamais elle n'avait eu aussi mal.
L'eca fini de lui trancher le doigt et se dirige vers ses pieds. Elle remonte une jambe et enfonce son genoux dans sa truffe. Il ne dit pas un mot, lui maintient les jambes et lui tranche le pied droit.

Zara voit des petites etoiles lui tourner autour. Elle a juste le temps d'entendre le rugissement de colere de son pere arrivant pour la sauver avant de sombrer dans un soleil agité de bwaks geants avec des ailes en cartons.

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Un peu plus tard, pendant que son père finit de panser ses blessures.
- Pôpa ? Pourquoi les monsieurs ils ont fait ça ?
- T'inquites pas ma fille, ils recommenceront pas, Pôpa les a punis.
- Mais pourquoi ?
- C'est maman qui leur a demandé.
- Pourquoi ?
- Popâ et moman sont fachés.
- Pourquoi? C est grave?
- Oui c est grave. Papa va punir maman, tu n'as pas a t inquité
- Mais pourquoi fachés?
- Je t expliquerai quand tu sera plus grande.

Zara fait une mou boudeuse. Ce qui aurait pu etre charmant si elle n'etait encore couverte du sang de l attaque des serianes.
Tant de questions sans réponse... quand tu seras plus grande.. souvent ca finissait comme ça.
Hier deja elle avait pas eu ses reponse.Elle venait voir son pere toute exité comme un tofu survitaminé pour lui raconter ses exploits.

- Zara a nouveau jouet !
Elle exibait le scalp de son nouvel ami qu'elle avait battu a trois reprises.
- Zara a battu Iop Adamei 3 fois. Zara aime taper Adamei.
Le Duc sourit.
-ET Zara a appris nouveaux mots !
Tout fierement elle ressort sa nouvelle expression:
- Mou du slip !!
Le Duc eclate de rire. Zara sourit et avec toute innocence elle ajoute :
- Ca veut dire: pas être un vrai garçon.
- Humm pas tout a fait, mais on va dire oui
- Ha bon ? ca veut dire quoi alors?
- Je t'expliquerai plus tard, quand tu seras grande

Zara soupire et repart en courant en criant "Mou du slip, Adamei mou du slip !"

Bref elle est pressee de grandir pour tout savoir.

(j ai retrouvé un tit bout ecrit là aussi ^^")

Chapitre Trois -Pandaya la douce

Felixette est assisse sur le bord de la route qui mène vers Astrub. Elle se rememore avec regrets les beaux jours avec son mari. Même s'il detestait et deteste toujours les Sérianes, il avait accepté qu'elle s'y engage entierement. Elle arrache une poignée d'herbe et regarde tombé les brindilles aussi vite qu on passé les jours. Maintenant 3 enfants, une vie de Brakmarienne, et une toute petite ride sur le soin de son oeil droit.

Pandaya D'Auge est la premiere des trois. Elle s' était rendu compte de son état par les fameuse envie de nourriture et les nausées matinales. Le Duc a été tres heureux en apprenant la nouvelle. Comme avec toutes les naissances.... ou presque. Cette fois ci il avait été tres prevenant en amenant regulierement des fleurs, des fraises, et était tres attentifs à tous ses besoins: du sexe, du rhum et du sexe et beaucoup de biere et du rhum.
Pour mettre au monde sa fille elle etait partie faire un pélerinage....

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Felixette regarde son ventre arrondi en marchant péniblement.
- Je suis trop grosse, pense t elle, vivement que je retrouve mon corps de rêve.
Elle pense aussi à tous ces zommes qu'elle ne peut plus charmer. Non pas parce qu'elle est mariée, mais surout parce que le petit être qui la fait se tordre de douleur les fait plutot fuir.
Quelle drôle d'idée d'aller dans les montagnes pour donner naissance... Et surtout quelle idée de choisir ce lieu au hasard !
- J'en profiterai pour reflechir un peu sur tous les derniers événement de ma vie. Un peu de solitude ça ne me fera pas de mal a t elle dit a son mari
Elle se retourne pour regarder ses fesses ... et faut vraiment que je fasse de l'exercice

Elle se decide a prevenir le Duc en ercvant quelque mots sur unparchamen chiffoné:
" Mon Duc d hamoure. Je vé dan lé montagne pour me reuposé. Vené me rejoindreu ce soar. Jeu croa ke la mini Duchesse veu vou voar.
Plein de bisous, et la ou vou savé"
Elle l'accroche au cou de Piwate, son chachat borgne, après bien sûre l 'avoir parfumé un peu.
Elle fini par reprendre sa marche tout en pensant à de nouvelles techniques pour faire enrager les filles des guilde à son retour.

Au bout de quelques heures pénibles et douloureuses, Felixette s'assoie pour se reposer. Elle sort son lailait, y met une goutte de mixture anti bière-envie et se rafraichi.
Au moment de partir, un petit bonhomme barbu avec un bâton arrive par l'autre côté de la route.
Moqueuse Felixette l'interpelle:
- Hey le vieux, tu t'es perdu ? Tu sais plus ou est ta maison ?
Celui-ci grogne quelque chose d'incompréhenssible, mais d'un air quand même menaçant.
Felixette se rapprocche. Le vieux sort alors un gros livre et commence à l'ouvrir en levant son bâton.
- Papy c'est pas avec un livre que tu va me faire peur ! rit elle
- Gebbdqlkkskelazjncdbc, Hurle le petit vioc.
Des éclairs sortis de nul part tombent sur Felixette ! Mazette un bwork mage ! Elle ne l 'avait pas reconnu...
Elle attrape son sac et se prepare à courrir... loin.. très loin, en sentant l'ambiance electrique et l'odeur de ses cheveux, magnifiquement roses, brulés.
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Malgres un debut de vie un peu agité Pandaya a grandit dans un environement sain, c'est a dire loin de ses parents, dans un monastère à Pandala. Elle a le lévé de coude facile et toujours le sourire.

L'écatte sourit en se souvenant de la fois où elle l'avais surprise en facheuse posture dans les bras d'un sacrieur Bontalien qui est devenu plus tard son mari. Il s'en etait suivi une dispute, le mère ayant peur que sa fille fasse les mêmes erreurs de jeunesse qu'elle. Elle avait finallement soutenu Pandaya dans son desir de se marier avec le sacrieur Si-Toh. Etant en froid avec le Duc, ex-mari à cette époque, elle etait allée tout de même lui parler en la faveur du sacrieur. Enervée par ses paroles autaines et méprisantes, elle l'avait attaqué en lui donnant de violants coups d'épées alors qu'il lui tournait le dos. La réaction fut immédiate, et habituelle: Duc en colère, Felixette toute pleine de bleue et de sang.... dommage collatérale: Pandaya.
Felixette rigole en pensant à sa réaction. Le Duc est Brakmarien, il deteste avant toute chose, et même avant les Sérianes, les Bon à rien. Deux jours plus tard Felixette arborait de jolies ailes blanches et suivait en douce le Duc pour saisir le moment opportun de venger sa fille encore au lit couverte de bandellettes.

Chapitre Quatre - Cid, la tempête de rage

Eté 636

Le jeune sacrieur observe l’écatte qu’on lui avait présentée comme sa mère. Il est pas bien épais mais il domine la feline bleuté agenouillée a ses pieds. Elle le regarde avec un air triste et suppliant. Elle ne mérite pas sa pitié, elle est sériane, elle a fait du mal à son père et est une traînée. Il s’apprête à lui donner un coup de pied, aussi violent que sa rancœur est profonde. Sa mère adoptive, Kat-o-matik, lui avait appris l’art du combat et la haine du Sériane, mais là ce n’était qu’un passage à tabac qui plus est de sa mère biologique, qui ne se défend même pas. Il hésite, et réitère sa question :

- Tu me le jures ?
- Oui je te le jure Cid, plus jamais je ne ferai de mal à ton père !

Felixette, les larmes aux yeux essuie du revers de la main le sang qui coule de son nez. Elle n’avait pas imaginé ses retrouvailles avec son fils ainsi.
Le Duc, son mari à l’époque de la naissance le lui avait enlevé dès la naissance après l’avoir battu a coup de baton. Parce qu’elle lui avait été infidèle, encore une fois. Trop de fois elle lui avait demandé de le laisser voir, essayant d’avoir des nouvelles, et enfin il lui avait cédé. En le voyant elle avait d’abord été déconcertée par son regard froid et indifférent. Il serrait les poings, restant à distance de Felixette. Elle ouvrit la bouche pour lui parler lais la coupa net se ruant sur elle pour lui asséner un coup de poing, qu’elle n’esquiva pas, trop surprise.
C’est en voyant milles Iops tourner autour d’elle qu’elle repensa a son amant du moment... quelque mois avant.

Sir-Squall Iop, il se nommait. Son tuteur Sériane, un Iop indépendant et peu bavard. Mais pas besoin de parler ses yeux en disaient beaucoup, cela ne laissait pas Felixette indifférente. Ils passaient beaucoup de temps ensemble, tant bien que leur relation pris une tournure inattendue, puisque Squall avait volé une part de son cœur à son mari. Leurs sorties de travail sur des contrats finissaient toujours en ronronnades sur Moon, dans leur petit coin secret, ou les leçons d’Amaknéens par des soupirs dans l’ombre d’un coin de la bibliothèque. Cela n’avait rien d’étonnant, vu la façon qu’avait Felixette de réciter ses leçons, avec son air coquin et les yeux brillants :

A comme Amour
B comme Bisous
C comme Caresse
E comme Emotion
F comme Felintion
G comme Galipette
H comme Hamant
I comme Iop
K comme Kraquant
L comme Libido
M comme Massages
N comme Nuit
O comme Occupée...
P comme Pelle
Q comme Queue.de Mulou
R comme Ronronner
S comme Sexy
T comme Têtue
U comme ......

Le Duc eu vent de cette histoire car à force de s’aimer en secret, ils finirent par se faire surprendre par Yapito, le neveu du Duc. Ce n’est pas en bafouillants des excuses plus insensées les unes que les autres qu’ils le firent taire. Squall en subit les conséquences à coup d’éclairs enragés.
C’est effondrée que la jeune ecatte dû faire un choix : son mari ou son tuteur. Elle choisit son mari... et renoua avec Squall une semaine plus tard, par des étreintes passionnées... et des nausées matinales.
En se rendant compte elle avait été parcourue se sueurs froides, et avait tremblée lorsque le Duc avait été fou de joie. Elle ne lui avait pas dit qu’il avait fallut une potion pour connaître le père puisque de toute façon c’était bien lui.

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Cid, aide sa mère a se relever et reste froid lorsqu'elle le sert dans ses bras. Ils leur faudra du temps pour apprendre a se connaitre. Mais déjà ils ne le feront plus a coup de poing.


Eté 637

Cid est un beau jeune homme maintenant. Il a choisi sa voix, celle de la violence et du pouvoir, comme sa sœur Zara. Ensemble ils poursuivent un but immoral, dans un Ordre dirigé par sa soeur. Zara ignore et déteste sa mère, profitant des rare échanges avec son père pour la monter contre elle. Les ecattes échangent parfois quelques paroles assassinent lorsqu’elle se croisent a Brakmar. Cid, même s’il reste un peu lointain, lui parle et partage encore quelque moment. Quant à Pandaya, elle coule des jours heureux avec son mari.