Antithèse : Partie remise
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Antithèse : Partie remise
Le 14 novamaire 638, Astrub.
Il avait de grands yeux obscurs
Une grande cape cachait sa carrure
Et le Clint vissé sur la tête
Il est entré dans ce lieu de fête
Il avait promis un entretien
J’avais promit de changer son destin
Mon Mercenaire.
Il ne savait pas mon nom
Et encore moins de mes futures actions
Il accepta bien volontiers
Le verre habillement proposé
Il était aussi naïf qu’assoiffé
Il ne vit pas le poison mélangé
Mon Mercenaire.
Force déchue, force perdue
Il s’écroula à terre
Quelques secondes pas plus
Et je l’avais capturé dans ma pierre
Il était à moi, j’avais réussit
Je serai riche avant la nuit
Mon Mercenaire
Mes jeux alertèrent ses amis
J’ai bien faillit le perdre ainsi
Mais la ruse me suffit
Pour m’échapper avec mon promis
Ils étaient cent je n’étais qu’une
Mais j’avais la pierre de la fortune
Mon Mercenaire
Ils ont cherchés dans le désert
Traversés les champs et les mers
Ils ont finis par me retrouver
Derrière ma porte barricadée
Il leur suffit de peu de temps
Pour crocheter et se retrouver dedans
Devant mon Mercenaire
Je rêvais de gloire et de lingots
De le vendre au marché à bestiaux
Mon Mercenaire
J’ai du le laisser à son destin
M’enfuyant devant l’armée des siens
Je n’avais pas encore perdue
La pierre brillait d’un sortilège
Ils y laissèrent quelques neurones superflus
Mais réussirent à déjouer le piège
Les Mercenaires !
Antithèse
Il avait de grands yeux obscurs
Une grande cape cachait sa carrure
Et le Clint vissé sur la tête
Il est entré dans ce lieu de fête
Il avait promis un entretien
J’avais promit de changer son destin
Mon Mercenaire.
Il ne savait pas mon nom
Et encore moins de mes futures actions
Il accepta bien volontiers
Le verre habillement proposé
Il était aussi naïf qu’assoiffé
Il ne vit pas le poison mélangé
Mon Mercenaire.
Force déchue, force perdue
Il s’écroula à terre
Quelques secondes pas plus
Et je l’avais capturé dans ma pierre
Il était à moi, j’avais réussit
Je serai riche avant la nuit
Mon Mercenaire
Mes jeux alertèrent ses amis
J’ai bien faillit le perdre ainsi
Mais la ruse me suffit
Pour m’échapper avec mon promis
Ils étaient cent je n’étais qu’une
Mais j’avais la pierre de la fortune
Mon Mercenaire
Ils ont cherchés dans le désert
Traversés les champs et les mers
Ils ont finis par me retrouver
Derrière ma porte barricadée
Il leur suffit de peu de temps
Pour crocheter et se retrouver dedans
Devant mon Mercenaire
Je rêvais de gloire et de lingots
De le vendre au marché à bestiaux
Mon Mercenaire
J’ai du le laisser à son destin
M’enfuyant devant l’armée des siens
Je n’avais pas encore perdue
La pierre brillait d’un sortilège
Ils y laissèrent quelques neurones superflus
Mais réussirent à déjouer le piège
Les Mercenaires !
Antithèse
Antithèse- Boufton
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Date d'inscription : 04/07/2006
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