Rosenrot

Maître Lothar, perché sur la pente d'une colline, tenait en sa bouche un fromage qu'il machonait. Les roseraies qui défilaient le long de sa route avaient commencé leur floraison. Le printemps était à l'approche et l'hiver avait déjà un pied dans le passé. Ce matin là tout allait bien.

Humant l'air frais et recardrant son chapeau à bords larges il accéléra le pas, attitude si coutumière pour un iop distant et détaché de tout. Il s'autorisa à ceuillir une frêle jeune rose rouge qui hésitait encore entre sa coquille bourgeonnesque et l'éclat des grands jours.

C'est alors qu'au détour d'un sentier il fit la rencontre d'une créature inconnue. D'apparence féminine, elle en avait pas moins la peau rouge sang, la langue bleue , était nue, bien faite de sa personne et arborait trois paires de bras ajouté d'un troisième oeil au beau milieu du front.

Choqué, Lothar pila sur place. La créature feigna un sourire convenu et invita le Iop à la rejoindre.

- Il n'y as pas d'autre chemin pour toi que celui que je t'indiquerai, dit elle
- Et si je refuse ?, rétorqua un Lothar méfiant
- Alors le temps cessera et tu seras prisonnier de ton esprit, sussura l'étrangère
- Qui es tu ?,
- En d'autres temps on me nommait Kali.
- Je t'écoute. De quoi s'agit-il ?
- De cette rose que tu as ceuilli.
- Est-ce interdit ?
- Non mais tu dois savoir son histoire car tu lui a pris la vie.
- Soit, je t'écoute.

Et l'étrange femme entonna alors un chant terrible, aux accents mélancoliques empreints de colère et de nostalige.





Maître Lothar allongé sur la route, ne bougeait plus. Les gens qui passaient ne comprenaient pas puis tentaient de le réveiller mais rien n'y faisait. L'ayant déplacé sur le bord de la route ils l'avaient placé sur un ban de pierre, sous les ombres écarlates d'une immense roseraie.

Le prêtre avait épuisé son art et les amis sentaient sans doute le malaise poignant qu'impliquait l'impuissance face à une perte. Têtu était le iop qui ne voulait rien entendre, ni voir, contenté de son air de dormeur paisible. Et le capiteux parfum d'encens à la rose de couvrir, déjà, ce deuil soudain.

Un proche avait expliqué la circonstance tragique et comique du corps allongé près d'une fontaine profonde, au visage paisible mais triste. Précisant que rien ne dénotait de l'habituel sinon que le dormeur semblait humer le parfum de la frêle rôse en sa main.

La veillée fut brêve et la foule se dipersa, sans doute ignorante de la cause d'un tel accident. Mais tard dans la nuit, nichées dans une puissante main endormie, s'ouvrirent les pétales d'une rose nouvelle.


Fin.






*Inspiré de " Rosenrot ", chanson de Rammstein.

(hrp: fan /hrp)

[hrp

C'est vrai rosenrot *as le disque* sa veut dire sa ??? oua lolo il ecoute rammstein ^^purée j'ai appris quelque chose sur rammstein la ,la honte :X
Bon a part sa super l'histoire !!!

hrp]

Poussez vous... Vous voyez bien qu'il dort...
Si, si, sa poitrine se soulève légèrement...

*regarde Lothar d'un air désolé*
Mais t'es trop iop toi.... dans quelle galère es-tu allé te mettre...

Bon Maitre Zamie... Je suis sure que vous voulez le soigner... Mais j'ai des alchimistes très qualifiés... Je les envoie dessuite a leurs bouquins...
On va pas le laisser comme ça.... On a du travail sur les bras... Des Kobai, un roublard névrosé... Non non non On a besoin des deux grands maitres...
Et c'est quoi cette rose d'abbord... J'avais bien dit que je voulais mettre mon apprentie Percie a la section guerre des fleurs....
Percie???? Tu n'es responsable en rien au moins???

*re regarde Lothar d'un air désolée*
Comment on va faire pendant ta sieste? Tu pouvais pas rester a la binouze au lieu de nous faire un trip genre "Les iops sont parfois poètes, les iops peuvent chanter danser et poser du papier peint"

Faut penser a la sécurité du grand Maitre Lothar... Il est vulnérable là... Je pense pas que son "triple ronflement vrillé" puisse le défendre contre les destins d'écaflip de Sor-Taroth... Déposons le là où nous pourrons tacher de le soigner et où personne de mal intentionné ne pourra le trouver.

Ben ...euh ...^^''''''''''''' c'est pas de ma faute c'est une des fleurs interdites !!
Mais malheuresement je ne peut rien faire ou peut etre que .....*va vite chercher un livre de son arriere arriere ...aieul*
Et bien voila sa c'est le livre ou tous les secrets des fleurs et inscrit mon aieul en ai mort par le pouvoir des fleures car proffanner le secret des fleurs et interdit alors je vous le prete rien qu'a vous car vous etes ma tutrice mais faites y bien attention ne lisez que se qui pourra nous etre utile sinon...il pourrais vous arrivez des choses horrible . *va chercher d'autre livres au cas ou *

Le prêtre et des énis hautement qualifiés n'ont pu l'extirper de son sommeil. Je suis le seul inquiet quant à son réveil?

Je pourais p'têt lui donner mon sang. Ça me ferait plaisir.

Mais Non Mais Non pas de soucis...
Vous l'entendez pas ronfler???

Laissez le il va se réveiller tout seul...
Au pire on a mis les alchis sur le coup...
Vous avez essayé le choc emotionnel???
Zamie dansant nue devant un feu de camp ou tout simplement.... Une bière?

Moi je suis pour les dernier idées d'Amanda.

Non Maitre Zamie pas taper...

Bon alors la dernière idée d'Amanda

HRP/ Jolie la fin !! Et même le début :p HRP/

Cerceï se tenait dans une auberge non loin quand elle sû la nouvelle. Son oncle venait de succomber à un bien étrange mal. Cerceï avait été elevée dans des contrées où ces questions n'étaient envisagées qu'à très longs termes.

Elle même n'avait pas la longévité de ses maîtres mais elle comprenait à présent ce mal, pour des gens tels qu'elle même et son oncle; en définitive il manquait toujours du temps. Elle sorti, compris qu'elle ne pouvait rien faire et s'en alla.

Quelques jours plus tard, revenue dans la même auberge, elle s'installa alors que la serveuse lui servait un repas chaud et se laissa bercer par la chant d'un barde de passage et eu un léger sourire nostalgique à ce chant :

Tu riais, tu te renversais
Dans mes bras et l'aube amoureuse
Illuminait ma tête creuse
Et lourde, mais je te berçais

En chantant. Le jour dans la pluie
Se levait et n'en pouvait plus.
Contre ta hanche étroite et nue,
Je tombais enfin d'insomnie.

Matins amers, amour charmant ...
Epuisante et trouble folie
Au réveil, la mélancolie
Sépara plus tard ces amants ...

Pourquoi ? Nul ne le sut ... Lui même
Pleurait en s'éloignant de toi ...
Et, depuis ce temps, que de fois
L'aube a fripé ses roses blêmes ! ...*

Une fois le chant terminé elle se leva, ajuste son arc et parti en donnant quelques pièces au barde.




*Francis Carco " Amour "

Lothar, étourdi, se leva, trouvant du monde autour de lui, sur lui et non loin de lui. Se levant soudain, une détermination sans faille dans ses yeux, il épousseta ses fringues, réajusta son Clint et s'en alla.

En passant il remarqua une rose flétrie dans sa poche. Il la sorti, la regarda un court moment puis la jeta au bord de la route d'un haussemet d'épaules.

Le monde était vaste, paraissait-il qu'il allait même au delà des frontière établies. Lothar y pensait sérieusement.

Viiiiite!!!! Il est réveillez....
Qu'on lui amène de la bière!!!!!

*cours* Une biere ! Une !