Quartier Général du Clan de Sériane Kerm
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[Event] Etrange disparition

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Message par Miss-mate Jeu 31 Aoû - 20:35

Certain d'entre vous se demande surement pourquoi je n'ai pas pris part aux derniers évènements majeur du clan.
Je vous rassure çà n'est pas le fait de ma volonté, laissez moi plutot vous conter mon histoire:

"Samedi 19 Fraouctor :
Je venais de finir le dernier inventaire de la 8ème légion, contente de mon labeur, je fermais à double tour la porte de la maison de la guilde.
Je me dirigeais ensuite vers le Zaap au cours de la ville d'Astrub. Comme toujours sur cette place marchande régnais une agitation et un brouhaha effervescents.

Je traversais le portail magique, prenant la direction du sud des plaines de Cania, Il fallait que j'aille déposer les nouveau parchemins de poursuite dans un coffre de notre quartier général de clan.
Un fois dans la plaine aux herbes hautes une sensation étrange me traversa l'esprit. Un sentiment, un ressentiment, une impression, c'était très vague et je décidais juste de faire plus attention aux deux jeunes Kanigrous qui se disputais un os juste sur ma droite.
J'arrivais sans encombre devant notre maison, sortant la clan de ma poche j'ouvrais la porte d'entrée, la refermant soigneusement derrière moi, la verrouillant.

La grande salle, vide renvoyais un silence de sérénité, beaucoup de choses se sont déroulées ici beaucoup de destin ont changés, des promotions, des punitions, des départs.... ah j'aime cet endroit.
Mais bon comme d'habitude personne n'avait fait le ménage. ni une ni deux je prenais un balai confiait une pelle à Gucchi et je nettoyer la piece entière.

Quand j'eu finit la nuit été noire dehors et la maison illuminé par les bougies et lampes à huile. Contente de moi, mais fatiguée, il me tardait de rentrer à la demeure des Dice me reposer un peu. Aussi dans un sursaut d'énergie pour atteindre mon objectif plus rapidemment, je montais les marches de l'escalier deux par deux (Foi d'Enutrof çà n'est pas très facile )
je traversais le salon privé, passant à coté de la grande table des grands maitres du clan, me dirigeant vers les coffres à dossiers.

Je déverouillais le cadenas, l'ouvrais grand, plein... Tant pis pensais-je, je le refermais, et en ouvrait un autre vide. je déposais mes parchemins soigneusement au fond.

Je ressentit alors une immense douleur sur l'arrière de mon crane, soudain ce fut le noir total je sentis les force de mes jambes m'abandonner, je me sentit tombé, puis plus rien.

Quand je revins à moi, la même douleur, mais plus diffuse m'accompagnait j'ouvrais les yeux mais le noir était toujours là. j'essayais d'allonger mes jambes mais un mur m'en empecher. c'est à cet instant que je réalisais plusieurs choses: mes jambes et mes bras étaient liés, je portais un baillon.

Combien de temps s'était écoulé? Aucune idée. A en juger par l'état de d'assèchement de ma bouche, un moment je pense.
Il se passa un moment, j'attendais patiemment de voir la suite des évènements mais il n'y avait que noir et silence.

A priori je devais être dans un coffre, surement le même coffre sur lequel j'étais penché avant d'être attaquée lachement dans le dos. Si j'avais été kidnappée à n'en pas douter mes ravisseur aurait vérifié mon état, si ils m'avaient gardé vivante çà n'était pas pour me laisser mourrir ainsi.
Je gardais espoir d'être rapidemment secourru, d'habitude les grands maitres passent régulierement dans leur bureau, j'étais loin de me douter des évènements qui se déroulait à l'extérieur....

Un nombre d'heures ou de jours, qui sais, s'écoula, la faim commençait à me tirailler mais surtout la soif, il devennait urgent que je m'alimente mais comment faire?
Gucchi, c'était la solution j'ai toujours des rations de voyage dans mon sac, mais comment l'invoquer ainsi baillonnée?

Je gigotait, essayant de frotter ma joue sur le sol afin de faire glisser le maudit baillon, ajoutant à mon mouvement de tête des mouvement de bouches et de lèvres, victoire le baillon bougeait de quelques milimètres. Une mince victoire au vu des centimètre à parcourrir, mais beaucoup d'espoir sur la réussite de mon entreprise.
Toutes mes forces passèrent dans mon entreprise et l'épuisemnt me gagnait tellement que je ne pu ne serais-ce que sourire lorsque j'eu réussit.

Je me laissait sombrer dans le sommeil. Je savais que je ne me revaillerai peut etre jamais si je dormais maintenant, portée dans ces songes qui me conduisaient dans les bras ouverts de la mort.

Je rouvrit les yeux dans cette pénombre caractéristique, ma compagne depuis un temps qui me semblait une vie maintenant, réalisant à peine que j'avais encore une fois prolongé mon existence.
Je réalisé par contre les cris de famine de mon ventre, et là libertée de mouvement de ma bouche libre de tout baillon, j'invoqua Gucchi mais ma gorge et ma langue semblèrent se déchirer sous l'effet de ma parole, le manque d'humidité les avait rendus telle des feuilles mortes d'automne aui à la moindre pression craquent.

Gucchi tant mieux que mal, se contorsionna, se glissa dans le coffre pour s'installer à demi ouvert sous ma tête. Il émergeat de son ventre magique et infinie une outre, se fraicheur et son humidité transparaissait a travers le cuir. Dans un effort motivé j'arrachait le bouchon de liège, et je m'humectait les lèvres. C'était douloureux, les gercures étaient profondes, la première vraie gorgée fut minuscule, je la gardait en bouche longtemps avant de l'avaler, laissant ma langue baignée dans ce liquide salvateur. Contenant mon irresistible envie de boire, je me contentais de cette bouchée, dans un soucis d'économie à venir mais égallement de part le fait que cette eau me brula la gorge jusqu'au tréfond de mes entrailles.

Au bout de plusieurs épisodes d'attente et de boisson, je tentais maintenant de manger la viande séchée que Gucchi avait porté sous mon nez. Mâchant lentement, je réussit à en absorber au moins le quart.
Je reprennais un peu de force, et tant que j'avais des vivres l'espoir m'était permis.

Mais combien de jours se sont déjà écoulés? j'avais perdu toutes notions du temps du jour et de la nuit. celà devait déjà faire au moins 3 semaines, voir plus mais je minimisais à seulement à deux semaines, manière maladroite de m'auto-encourager.

Et le temps continua sa course dans le grand sablier de Xélor, encore et encore, grain par grain, rythmé pour moi par mes gorgées d'eau et mes bouchée de viande.
Soudain un bruit, j'essaya de crier, mais j'avais peine moi même à m'entendre tellement mes cordes vocales était abimées. je gigotais alors de tous mes muscles endoloris tentant de produire un son. Quand je m'arretais, le silence était de retour m'enlevant ce petit espoir, m'arrachant une larme, précieuse goutte d'eau, qui malgrès sa salinité je décidais de ne pas gaspiller.

Un mois selon mes estimations, mon outre était au trois-quart vide, et je sentais encore le gout de ma dernière ration, Ils doivent maintenant être à ma recherche activemment, c'est certain je ne me suis jamais absentée si longtemps. la légion, la générale, maitre Khyon, le clan même peut-etre.
Une seule chose me dérangeais pourquoi les grand maitres ne sont pas venus dans leur bureau depuis si longtemps? J'aurai tout donner à ce moment là pour entendre la voix de maitre Lothar hurlant de mécontentement sur un sériane ayant fait une faute...

Je me rendormais à nouveau, méditant sur les secours mis en place. Je fut réveillé par des bruits et des cris, assez éloignés, tel un combat se déroulant au rez de chaussée, pas la peine que j'essaye de me signaler dans ce vacarme je passerais inaperçue. Mais que pouvait-il bien se passer?

Le calme revins, plus un bruit, encore une longue attente, mes oreilles pretent à capter le moindre son. Rien. Je me rendormais a nouveau.
Un bruit lourd et régulier surpris une de mes période d'affut, çà se rapprochait, de bruits de pas, très faible mais qui montait les escaliers.
Il fallait que me me signale, je rassemblais mes dernières forces et gigotait de tout mon poids.

Un bruit métallique, une lumière aveuglante, des bruits de voix...
"Miss-Mate"
C'était la voix de LeroyKincaid.
Il me délia, on me soigna, j'était sauvée.
Nous étions le lundi 28 Fraouctor"


Qui as bien pu m'enfermer ainsi? Qui à pu pénétrer dans notre repaire, m'apporcher sans que je l'entende? Et pourquoi?
Certains disent que c'est liés aux derniers évènnements, Abu-Zhed m'aurait emprisonner, mais je me demande encore pourquoi et pourquoi moi qui plus est...
Ce mystère est loin d'être éclaircit et je me pose encore beaucoup de questions....
Miss-mate
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Wabbit

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