Le Mal et le Bien

Comme vous l'aurez compris,
Je vous ferez part d'une histoire tous les jours ou tous les deux jours, jusqu'a épuisement...

L'arbre de l'Humanité

Il y a bien lontemps,
dans les landes de Sidimotes, tronnait un Arbre...
Les grands-pères et grand-mères des grands-pères l'avaient toujours vu.
On le disait aussi vieu que le Monde et magique.

Cet Arbre, été scindé en deux immenses branches, qui donnaient les mêmes fruits,
sauf, que d'un coté les fruits donnaient la vie, l'autre, la mort...

Une année, un été chaud assécha la terre, un automne sec la craquela, un hiver glacial gela les graines déjà rabougries. La famine envahit bientôt Brakmar. Miracle : seul sur les landes, l'arbre demeura imperturbable. Aucun de ses fruits n'avait péri.

Les villageois affamés se dirent qu'il leur fallait choisir entre le risque de tomber foudroyés, s'ils goûtaient aux merveilles dorées, et la certitude de mourir de faim s'ils n'y goûtaient pas.

Un jour, un homme dont le fils ne vivait plus qu'a peine,
décida de s'approcher de l'arbre...
Il en cueillit un fruit sous la branche de droite, et...
survécut.
Tout les villageois l'immitère et se rua sur les fruits merveilleux...

Puis, dégoutés par l'autre branche,
celle qui donnait la Mort,
celle qui les avais fais si lontemps hésité,
lesz villageois décidèrent de la couper...

En deux jours,
l'Arbre, emputté de sa seconde moitié,
devenu noir,
mourrut, ainsi que ses fruits...

Quel est cet arbre?
Quel leçons apprenons-nous sur l'erreurs qu'ont commis les villageois...?

Nul n'est parfait, il y a toujours en nous une part de bien, une part de mal.

Nous vivons dans cette ambiguïté permanente, en équilibre entre nos deux opposés.

Mais le pire en nous pout nous etre utile un jour, ne le renions pas. ne cherchons pas a le cacher. Il fait partie de nous, tous comme ce bien que l'on voudrait seul montrer.

Et leur erreur, c'est de ne pas avoir planté les pepins des pommes qu'ils mangeaient.

encore une belle histoire

pour l'arbre , je vais dire(complétement au hasard) que c'est l'humanité
( le hasard fait bien les choses, n'est ce pas? )

sinon sur les erreurs, je plussoie mafr
rien ne sert de renier son côté "obscure", il faut juste l'accepter

PS: et c'est vrai ca dis donc >< pourquoi ils ont pas fait un jardin avec les graines?

Tout est relatif...
Qu'est-ce que le bien, s'il n'y a pas un mal en comparaison?
Qu'est-ce que le mal, s'il n'y a pas un bien en comparaison?
Et nous, qui sommes neutres, quelle serait notre place sans bien ni mal?

Par contre Mafr, je ne serais pas aussi manichéen que toi sur les Hommes...
Certes, il faut savoir se comprendre, et s'accepter, qu'on se plaise ou non.
Il faut aussi savoir ce qui est nous, et ce que nous pouvons changer.
De là à dire que nous avons une part de mal, et une part de bien...
Pas d'acc'.

Quand tu t'emportes, quand ta colère te gagne, quand tu fais un geste que tu regrettes apres, crois tu que ce soit ton bon côté qui ressorte ?

Non, bien sûr, mais je n'irai pas jusqu'à dire que la colère est le mal.
Supposons un instant que tu aies une dague plantée sur la gorge.
Si tu restes calme, un groupe pille une maison, alors que des villageois sont dedans, et part, te laissant en vie.
Mais si tu t'énerves, tu surpasseras la menace de la dague (une chance de mourir, l'autre d'accomplir ce que tu veux), et tu sauveras (si tu réussis) la veuve et l'orphelin...
Ta colère t'aura fait faire le bien.
Comme tout le monde le sait, la colère peut te faire faire le mal.

En fait, la colère fait partie de toi.
Et tu dois l'accepter, voir savoir t'en servir.

La colère n'est pas seriane, parcequ'elle empêche d'agir avec sang froid, et d'être maître de soi, de ne pas être manipulé.
Mais elle n'est ni bien ni mal, à mes yeux.

Et regretter un geste, ce n'est pas lié au bien ou au mal, mais à notre personnalité, ce qui compte pour nous, et notre éthique.

Je m'en sert, parfois, a tort surement, mais c'est toujours tres dangereux, qui dit colere dit absence de maitrise. Et qui dis absence de maitrise chez moi veut souvent dire des mots tres durs, et blessant.

Je l'accepte, je l'assume je crois, mais de la a vouloir m'en servir volontairement, non.

Nous serons sage quand nous parviendront a maitriser cette colère au point de ne plus jamais la connaitre.