[Historique] Necrostick, le Iop qui aimait les cadavres.

CHAPITRE 1: Ma plus tendre enfance...

Je suis né en Amakna, plus précisement au Cimetiére d'Amakna, lieu où résident Chafers et fantômes. Ma maison étant cachée derrière un cercueil, nous n'avions aucun mal face au Chafers pour notre défence. Mon père s'appellait Jacques MacStick, il était Géneral en Chef de la Milice d'Amakna en section "crimes", ma mère, était une Iopette intellectuelle travaillant aussi à la Milice comme Chef des Réseaux intercités et je suis enfant unique. C'est dans un cadre familial très stricte que j'ai grandit, mes parents voulaient que je sois parfait, aussi bien spirituélement que physiquement. Dès que j'eu 3 ans, je commencis mon entraînement: deux heures de cours et deux heures d'entraînement physique. Ce programme s'accrut chaque semaine, je m'ammeliorais, mais à quel prix?

Chapitre 2: Le Tofu oublié
Pour m'évader, j'allais jouer avec les monstres du Cimetiere. Je suis d'abbord aller dans les tombes où résident les vampyres. En entrant dans cete pièce lugubre, un des leurs m'a sauté dessus pour me mordre. Désarmé, j'ai dû utiliser mes poingts pour le vaincre, c'était en fait un enfant, voir un nourisson. C'est alors qu'un Tofu Maléfique est venu se blottir dans mes cheveux. Il gémissait et me montrait la direction de la sortie. J'ai couru pour arriver chez moi mais, sur le chemin du retour je vis une ombre étrange...

Chapitre 3: L'attaque du Sram

C'était un Sram de petite taille, tout de noir vetu, armé de deux petites dagues. Il regardait un arbre et marmomait des paroles. C'est alors que le Tofu que j'avais trouvé gémit un cri, ce qui alerta l'adorateur de Sram. Il me regarda et me dit: "Qu'est-ce tu fous ici gamin?", puis il commenca à ricaner et il avanca. Il se mit devant moi, j'étais terrifié, je ne fis rien. Il m'attrapa par les cheveux et sortit ses dagues. Le Tofu essaya de me protéger, mais en vaint. C'est alors qu'une lame trancha la tête du Sram. Je vis mon père, armé de sa Griffe Rose. Il me prit sans ses bras et me ramena à la maison. En rentrant, il me dit que je devais porter une épée sur moi, et il m'en donna une. Une inscription étrange y était gravée...

Chapitre 4: Une épée étrange

L'inscription était gravée soignesement, ne sachant pas lire, j'ai demandé à mon père de lire cette inscription, il me dit: "Ton épée n'est pas ton ennemi, traite la donc comme ton amie". Sur le coup, je ne comprenais pas cette phrase, et je ne cherchais pas à la comprendre. Content de pouvoir enfin me défendre, je suis allé voir Poutch'in, qui me sert habituellement à m'entrainer. Je frappais le poutch', quand l'épée commenca à me dire: "Tu m'as fais mal le nain!"...

Chapitre 5: La malédiction de l'épée

Je suis resté ébahit plusieurs secondes, ou plusieurs minutes je ne sais plus, plus j'ai laché l'épée qui cria:"Tu peux pas faire attention ?". Des yeux sont alors apparus sur la lame de l'épée, puis une bouche. Elle commenca à me raconter son histoire, c'était un esprit enfermé dans une épée, son âme scellée dans le corps de l'épée. C'est alors que mon père arriva et me demande où en était mon entrainement, affolé il dit:"Kkkkk.Kourgarougggetteeee?"...

Chapitre 6: L'âme perdue

Mon père était effrayé, il n'arrivait plus à parler. L'épée dit alors: "Mon pauvre vieux Jacques !". Ils avaient l'air de se connaitrent, même plus que ça. Mon père, après quelques minutes de silence, prit la parole et dit "Nicolas, je te présente Kourgarougette, une vielle connaissance; Kourgarougette, voici Nicolas, mon fils". L'épée a alors cligner des yeux, en signe de salut, et je fis de même. Mais qui était donc cette épée ? Ou plutôt son âme...

Chapitre 7: Une vielle connaissance

Etonné, je dis à mon père "Qui c'est papa ?", il me répondit en disant: "C'est une vielle connaissance, nous nous sommes connus à la Milice de Bonta". L'épée le coupa et dit "C'est vrai...je m'en rapelle comme si c'était hier. Ton père était de garde, moi, je venais de m'engager. J'étais fière de mes ailes, blanches et bleues...". "Hum...ensuite nous nous sommes mieux connus, jusqu'au jour où...un démon arriva", dit mon père. Kourgarougette reprit: "Oui, et il m'infliga une malédiction, la malediction de l'épée...". Intrigué, je dis "La malllllection de l'é..l'épée ?"...